Ouverture à la concurrence des transports

Quand on interroge les usagers des transports en commun, il ressort qu’ils sont globalement pour l’ouverture à la concurrence pour les TER. Cependant, les dernières nouvelles ne vont pas forcément dans ce sens.

La « commission Grignon », activé en avril 2009, devait normalement partager l’intégralité de son travail pour le de l’année précédente, avant d’être ajourné à septembre afin de chercher les nouveaux exécutifs régionaux. Cependant le combat des retraites a immobilisé ses recherches durant quelques mois. D’après une interprétation du dossier, découverte au mois de mai de l’année dernière, la commission voulait que les régions, dans le cas où elles le veulent, aient la possibilité d’ ouvrir des transport express régional à la concurrence afin d’avoir « des gains de productivité et une diminution des coûts (…) à qualité de service inchangée, voire supérieure ».
A travers une libéralisation impossible et un état actuel impensable, il y a une meilleure proposition : compléter l’autonomie du transport régional. Les régions françaises désirent la faculté d’une sincère régionalisation du service public de transport », a-t-il assuré.

Le marché des TER sera ouvert à la concurrence d’ici 2019.

L’affaire s’est répandue comme une trainée de poudre en ligne. Dans un article donnée dernièrement au papier Sud-Ouest, Guillaume Pepy a ajourné un certains nombre motifs d’actualité. Par exemple l’ouverture du marché voyageurs à la concurrence puis le destin du fret de chemin de fer.