80% des utilisateurs des drives sont satisfaits

Bien que le niveau de satisfaction dépasse les 80%, peu de consommateurs se sont convertis totalement au Drive.

Un tiers des français conquis

38% des consommateurs français utilisent le Drive comme moyen principal voire unique de faire ses courses, 25% font aussi leurs courses en magasin et en Drive dans la même proportion et 37% ne vont dans un Drive que de temps en temps : en général ces consommateurs achètent des produits particuliers en Drive pour combler un vide ou pour pouvoir choisir directement en magasin les autres produits, et cela pour la majeure partie de leurs courses.
Les rayons les plus touchés par le Drive sont les boissons non alcoolisées et l’épicerie : 80 à 90% des ventes en Drive. Cela s’explique par le poids et l’encombrement de ces produits. Le Drive permet de ne pas porter les produits et de gagner du temps, en sachant qu’il n’est pas nécessaire de voir, toucher ces produits avant de les acheter.

caddies

Ce qui n’est pas le cas des produits frais, qui sont généralement achetés en parallèle en magasin. Un autre point noir est le manque de produit en catalogue pour certaines enseignes, bien que de plus en plus de produits sont disponibles en Drive, tout comme en magasin.

Tester les prix

Côté prix, ils restent généralement dans les mêmes eaux, même si certaines enseignes utilisent les Drives pour faire des tests.

Côté utilisateur, des sociétés se sont également engouffrée dans ce marché, c’est le cas de Lebondrive.fr qui propose un comparateur de prix entre drive pour le panier de chaque utilisateur surfant sur la campagne de qui est le moins cher de la marque Leclerc. Une communication intelligente, mais risquée pour cette enseigne de grande distribution, même si lors du test de la rentrée des classes 2013, le Drive le moins cher était celui de E.Leclerc Drive situé à Conflans Sainte Honorine (étude disponible sur http://rentreedesclasses.lebondrive.fr/).