Le père de Nahel brise le silence et décide de se constituer partie civile suite à son décès
Hicham H., le père de Nahel, annonce qu’il se constitue partie civile dans l’affaire concernant la mort de son fils.
Le père de Nahel, tragiquement décédé à Nanterre, s’exprime pour la première fois
Le garçon a été abattu par un policier à Nanterre la semaine dernière. Originaire de Colombes, cet homme de 42 ans espère que justice sera rendue en mémoire de son fils et souhaite faire savoir qu’il est toujours vivant. Dans un entretien accordé au cabinet de son avocat, Me Serge Money, il exprime sa détermination à obtenir justice.
Audition du policier par l’IGPN
Lors de son audition par l’IGPN, Florian M., le policier impliqué, a nié avoir menacé Nahel d’une balle dans la tête. Il affirme avoir demandé au jeune homme de couper le contact et confirme avoir frappé plusieurs fois le pare-brise de la voiture pour attirer l’attention du conducteur. L’IGPN étudie actuellement une vidéo filmée par un témoin et diffusée sur les réseaux sociaux.
Le père pointe du doigt l’ancienne compagne
Hicham Hammouti, père de Nahel, accuse également la mère de son fils lors d’une interview exclusive accordée au quotidien Le Parisien. Il déclare que depuis le drame, il n’arrive plus à dormir et attend que le policier responsable soit condamné.
Les attentes du père
Hicham H. souhaite obtenir une “vraie justice” pour son fils et espère que le policier impliqué sera condamné. Il explique avoir eu peu de contacts avec Nahel ces dernières années, mais affirme qu’il souffre énormément de la situation.
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Le contexte de l’affaire
Nahel, un adolescent de 14 ans, a été abattu par un policier lors d’un refus d’obtempérer à Nanterre. L’affaire a suscité une vive émotion en France et a relancé les débats sur les violences policières et les contrôles au faciès.
Questions en suspens
- Quelles seront les suites judiciaires de cette affaire ?
- Comment la justice prendra-t-elle en compte les témoignages et les vidéos des témoins ?
- Quel rôle jouera la constitution de partie civile dans le procès ?
L’affaire Nahel continue de faire réagir la société française et interroge sur les pratiques policières. L’émotion suscitée par ce drame met en lumière la nécessité d’une réflexion approfondie sur les rapports entre la police et la population.